Compter ce qui compte
Pas comme compter ceux qui comptent
"Une fois qu'on a expliqué une chose,
on a seulement une explication"
L'Amour
La haine, que l'on mentionne si rarement. Et puis quoi encore?
L'économie.
L'économie.
Si les Chinois mettent de la mélamine dans le lait et les tabagistes du pollonium 21 dans les clopes, ce n'est pas par amour ou par haine mais par sens de l'économie.
Et non pas parce qu'ils sont fourbes et cruels, ou inconscients des dégâts radioactifs que va causer l'addiction des faibles d'esprit (ou de volonté).
bon donc, l'amour, l'économie et quoi encore?
Ah oui: la géographie.
La géographie
Tentons-nous d'apprendre à discerner les sources, buts et mérites de la haine, de l'économie et de l'amour?
Nous demandons-nous si ça se dose ou s'équationne?
Ce que répercutent leurs interactions?
Pourquoi les éléments constituant la richesse se retrouvent-ils toujours dans les mêmes cas de figure, alors que ceux qui constituent l'amourt paraissent obéir à une entropie totale?
Ainsi, que donnent:
Amour -(haine+économie)?
Économie-(amour-haine)?
Économie -(amour+haine)+(poulet frit x carottes bio)?
Haine (économie-amour+ticket d'avion)?
Aujourd'hui qu'un des correspondants critiques des Ets leblase se voit attribué un Nobel, puis-je résister
à mélanger amour, économie et géofgraphie?
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