Une histoire de feuilles et d'arbre

Où en êtes-vous de votre vie?

Je viens de perdre mon père, et je crois que nous sommes des feuilles sur un arbre. On nait, on vit, on jaunit, on meurt et tout recommence la saison d'après.

Pas de quoi se morfondre, mais plutôt essayer d'en profiter, de donner du sens comme on dit.

C'est pourquoi je créé des choses comme les Citoyens Demandeurs.  Histoire de ne pas se laisser coucher par le vent ou dériver sur un fleuve tranquille. Histoire de se donner l'illusion que tout n'est pas fatalité ;-)

Quand j’étais petite, j’étais rachitique. Trop maigre signifiait laide dans ma famille. Une nuit j’ai fait un rêve, je me suis vue dans une terrasse avec des amis, j’avais la vingtaine et je me suis trouvée belle. Le jour suivant, en faisant le lit de mes parents, je me suis regardée dans la glace, et je me suis vue moche, mais j’avais le sourire parce que je m’en foutais, je savais que quand je serais grande, je serai belle.

Aujourd’hui, quand mon ptit cœur mon regarde, je me vois très belle

Face au pont suspendu

Je me trouve à une époque charnière. L'adolescence est belle et bien terminée avec ses insouciances, ses conneries et ses douleurs aussi mais je ne sais pas encore ce que j'entr'apperçois au loin: Une vie rangée, bourgeoise, la perte de mes dernières illusions qui font de la résistance ? Un nouveau départ, un virage complet pour aller où, pour faire quoi ? me créer un nouvel ailleurs, tout recommencer, pour tout perdre à nouveau ? Je vois mes amis s'éloigner vers un autre pays, peuplé de femme-enfants-situation et je me sens comme le dernier soldat qui hésite sur le quai de la gare à embarquer pour le front...Voilà où j'en suis, ce n'est pas très confortable et l'on me dit que je vis mes plus belles années. Soit...

où en êtes-vous de votre vie?

j'attends patiemment que les choses se mettent en place. A quatorze ans je voulais être riche et célèbre. Après quelques tentatives infructueuses je me suis mise au calme en attendant que mon heure vienne. J'ai fini par comprendre que le temps jouait en ma faveur et que tout s'acquiert petit à petit (je n'ai que 24 ans)

Pour le reste, la vie n'a aucun sens bien entendu comme chacun le sait, et c'est pour ça qu'il est si vain de prétendre vouloir réussir la sienne. (voir mon blog) Mieux vaut se contenter des bonnes choses, comme le café du matin, un long baiser langoureux, ou la caresse du soleil.

Profond profond

Y a-t-il un moyen de distinguer les questions qui ont un sens de celles qui n'en ont pas ? 

← Dans l'trou, oui mais lequel ?

Je croyais, Wawa, que les questions, aussi superficielles ou profondes soient-elles, cachaient un miroir dans lequel le questionneur se mirait, attendant une réponse qui ne concernerait que lui, sans attendre d'échange.
Un petit peu comme vos histoires de jugements que l'on poserait sur le monde en faisant acte de foi.

← Re: Dans l'trou, oui mais lequel ?

Mamz'elle ! Je n'attendais pas une réponse de vous, je ne sais pas d'ailleurs si j'en attendais une.

Hum... Vous déformez, ma chère. J'avais dû mettre des "peut-être", des "souvent", des "en partie", des "c'est une lecture possible"... Quant à l'échange, je ne l'ai certainement pas nié, au plus j'ai dit qu'il est parfois, peut-être, ailleurs que là où on l'attend et que pour le cerner il faut envisager plusieurs niveaux de langages. C'est pourquoi, pour en revenir à la question de notre hôte (pas celle du titre à laquelle je réponds par mon titre, l'autre, celle sur la vie), en essayant d'y répondre je me suis aperçu qu'elle n'appelait pour moi qu'une autre question : quel peut bien être le sens d'une telle question ? A-t-elle seulement un sens ?

Et pour faire le lien avec votre questionnement : quelle est la question que se pose réellement notre hôte ?

← Le trou vert

Re-bonjour Wawa, bonjour LeBlase,

Wawa, je me doute bien que vous n'attendiez aucune réponse de ma part, du moins pas ici et pas sur ce sujet, vous me voyez donc  navrée de vous avoir pris par surprise, je tenterai dorénavant d'envoyer quelque éclaireur vérifier que vous vous tenez sur  vos gardes quant à un éventuel rebond de ma part sur vos propos pour le moins propices aux envolées.
Je prends un malin plaisir à essayer de prendre chacun d'eux sous un angle différent de celui que vous aviez formé, et ceci  en sachant que cela nous fait courir le risque de l'incompréhension. Qu'importe. Je sais bien, du moins je pense avoir compris que  vous maniez les peut-être et les je ne sais pas avec une rare dextérité, mais je ne vous en veux pas, bien au contraire, je m'adapte à vos exigences et me débats dans le rôle que vous me donnez, sachant qu'il ne me sied pas vraiment et que je doive tailler dans le costume pour le mettre à ma taille. Mais qu'importe une fois encore, je ne suis pas femme à cracher sur de nouvelles expériences, puissent-elles me donner une satisfaction, qui, sans être entière, aura, je l'espère, le mérite d'ouvrir un peu mon esprit obtu.
 
La question que se pose LeBlase ? Je n'en sais fichtre rien et je ne suis pas certaine qu'il en sache lui même quelque chose. LeBlase construit une tour, une sorte de Babel un peu Pise sur les bords qui tangue au gré des interventions de tel ou telle. J'ai un petit peu de mal à m'y faire et je dois dire que l'escalier est un poil rude pour moi mais mes grandes jambes devraient, pour une fois, m'être d'un bon secours.

 Je ne sais pas à quoi rêvent les petites et jeunes filles. A un monde idéal, sans doute, oui mais quand vos parents s'emploient à vous plonger dans un monde qui n'a plus besoin d'idéaux tant il en est un à lui tout seul, que vous reste t-il ? Il y a eu une époque où je voulais réussir, plus que tout, mes examens. Une fois ceux-ci obtenus, j'ai voulu un enfant, et maintenant qu'elle est là, vers quoi aspiré-je ? Je ne sais pas. Vers une vie riche en expériences diverses et en rencontres, peut-être.
Réussir sa vie, c'est pour certains trouver une bonne raison de se lever chaque matin, je n'ai jamais eu à en chercher et de toute façon les cris d'une petite fille affamée me font sauter à pieds joints dans mes chaussons en quête du biberon salvateur. Pour d'autres c'est trouver un accomplissement personnel (fonder une famille, un couple fidèle, une entreprise, ..), oui mais une fois celui-ci obtenu, que reste t-il ? L'envie de créer autre chose, un autre couple, une autre histoire, un projet différent, ou semblable mais avec d'autres. Une chose est sûre, LeBlase, j'ignorais que j'étais en train d'écrire dans le vide, que mon imaginaire était en train, là, tout de suite, de prendre le contrôle de mon petit moi intime pour écrire, malgré moi, que j'ai bien envie de faire un petit tour du côté de l'imaginaire de Wawa, histoire de voir comment ils se frotteraient l'un à l'autre.

Voilà, j'en suis là.

Bien à vous.
 

← Re: Le trou vert

Nous démarrons donc une conversation à trois ; votre blog, Leblase a ceci de très intéressant qu'il distingue naturellement les différentes conversations qui naissent des réponses à vos notes.

Mamz'elle, vous êtes décidément un bretteur d'exception (peut-on dire bretteuse ?) et vous visez juste ce qui fait que je suis percé de part et d'autre et que mes défenses commencent à être ajourées.
Leblase, vous aimez les expériences, que ce soit celles que vous avez vécues ou celles que d'autres ont vécues et dont ils vous font part, et vous vous enrichissez de leurs diversités ? Bon, ça ne m'éclaire pas trop sur le sens de votre question mais ça nous fait au moins un point commun car moi aussi j'aime les destins singuliers et quand on y regarde bien, ils le sont à peu près tous. Quoique... Enfin, j'ai bien des limites quand même, des destins qui me révoltent et je doute du fait que vous n'en ayez pas, mais laissons ceci pour un autre jour.

Mamz'elle en revanche donne à votre question un sens que je n'y avais pas vu au premier regard et qui me donne envie de réagir : ces rêves qui s'enchaînent, dont on imagine à un moment donné qu'ils nous combleraient si on les réalisait et qui nous laissent sur le carreau une fois que efforts et persévérance leur ont donné chair. J'ai très précisément en tête l'un de ces rêves, l'un de ces accomplissements au goût amer. Mais comment en parler sans trop me dévoiler, moi qui souhaite garder une part d'anonymat ?

C'est un rêve d'enfant. Quand on demande aux enfants ce qu'ils souhaitent faire de leur vie une fois adulte, la plupart répondent, paraît-il : "Comme papa !". Moi je n'ai jamais répondu comme papa, mais je n'en pensais pas moins. Et à l'âge de faire le choix de mon orientation, vers 18 ans, j'ai mis mes pas dans ceux de mon père et j'ai tenté d'obtenir (ce qui m'apparaissait complètement inaccessible, mais je voulais au moins essayer, un peu comme on croise le fer avec un fantôme) ce que mon papa avait obtenu avant moi. J'avais des atouts en main, notamment une solide passion pour la matière dans laquelle il allait me falloir briller.
Après deux ans d'efforts et de navigation à vue, une passion en moins (j'ai été franchement dégoûté du régime intellectuel avec plat unique qu'on m'a servi tout au long de la traversée) et quelques bleus à l'âme, vlà ti pas que je réussis le pari et que j'obtiens mon titre de Grand Successeur au Trône Familial. Beaucoup de ceux qui comme moi ont réussi à ce concours (puisque c'en était un) étaient ravis, heureux de cette réussite et du brillant avenir qu'elle permettait d'envisager.
Moi, je me suis trouvé complètement désemparé : je n'avais pas pensé à former d'autres rêves professionnels pour la suite. Je n'ai pas perdu mon temps pour autant, j'ai rencontré des tas de gens, je me suis beaucoup amusé, et enrichi, mais de brillant avenir il n'y a pas eu. D'ailleurs je n'en avais pas envie, j'avais déjà atteint mon apogée.

Ce n'est que plusieurs années plus tard que je me suis mis à regretter de ne pas avoir assez rêvé. Sans doute, il vaut mieux vivre avec des rêves qu'on ne parviendra jamais à réaliser que de vivre sans rêve.

Je ne sais pas si cela est une réponse recevable à votre question, Leblase ?

← Les questions sans réponse

Il me faut commencer par dire ce que j'ai dit ailleurs, à droite ou à gauche, à mots couverts ou plus franchement : il me semble que toutes les questions ne sont pas de même nature quant aux réponses qu'on peut leur apporter. Certaines questions sont posées en des termes ou concernent des sujets qui permettent d'accorder une valeur de vérité, de justesse plus ou moins grande aux différentes réponses qu'on leur apporte. D'autres en revanche semblent pouvoir admettre plusieurs réponses, toutes aussi valables les unes que les autres. La distinction est schématique, il faudrait l'approfondir, montrer les gradations possibles, décrire les termes ou les sujets menant à tel type ou à tel autre... Bref, les questions que vous vous posez m'apparaissent appartenir souvent à la seconde catégorie des questions aux multiples réponses, qu'on pourrait tout aussi bien appeler questions sans réponse, en ce qu'elles font appel au sentiment, et ne peuvent donc être envisagées qu'à la lumière de la subjectivité de celui qui tente d'y répondre. Cependant, je n'irai pas jusqu'à paraphraser Wittgenstein en disant qu'il faut se taire en réponse à ce genre de questions et je préfère votre sous-titre, Leblase, "Pourquoi le taire si on peut le dire ?". Mais la phrase par laquelle vous concluez votre réponse à notre Sainte Ethique de tarpan m'agace un peu : "savoir élever le niveau et [...] ne pas se vautrer dans la facilité si rassurante des chemins plats." Et qui juge du niveau ou de la facilité ? Vous ? Et sur quelles bases, s'il vous plaît ?

Autre remarque, dans la lignée de la précédente. S'il existe bien des questions sans réponse (en un sens restant à préciser), et si ces questions sont, comme je le pense, celles qu'en philosophe vous abordez (l'hypothèse commence à être osée), pourquoi chercher à y répondre frontalement, frontalement c'est-à-dire rationnellement et au premier degré ? Sérieusement, pour le dire autrement. L'histoire de la philosophie se confond à quelques rares exceptions (Nietzsche par exemple) près avec celle de la pensée rationnelle. Or n'y a-t-il pas d'autres manières de répondre, qui ne tiennent pas "de la facilité si rassurante des chemins plats" ? Vous le voyez, je n'aime pas cette phrase et le sentiment qu'elle me donne que vous vous placez, malgrè vos protestations de curiosité friande d'autres points de vue et d'autres expériences, au dessus de vos interlocuteurs...

Mais la question concernait la vie et avait pour nous dévié sur l'importance et la place du rêve. Il faut cependant que je tienne compte de ce que je viens de dire et que je ne reprenne pas mon boomerang en pleine gueule, ce qui est si fréquent.

Alors... Disons... Je rêve donc je suis ? Et si pour éviter ces désillusions des rêves accomplis, nous prenions garde à conserver toujours au fond de nous même des rêves à l'achèvement impossible ? Comme de rêver de connaître le sens de la vie ?

← Théorie et pratique

Bonjour Leblase (leblase est un faux c'est pour Le blasé infos ? Ou bien une référence sur laquelle je ne parviens pas à mettre le doigt depuis le temps que je la cherche ?),

Mamz'elle semble avoir abandonné la conversation. C'est pas grave, elle reviendra peut-être plus tard, et à coup sûr si je dis une connerie qui lui saute aux yeux (et pas à l'œil) elle viendra gentiment me taper dessus. C'est ce qui est agréable avec Mamz'elle, on peut compter sur elle pour apporter la contradiction ou me mettre le nez dans mes incohérences, qui sont nombreuses.

Sur le principe, je suis d'accord avec vous pour aborder l'autre avec l'exigence morale et/ou intellectuelle de voir en lui un égal. Il y a peu de principes théoriques que je suis près à défendre dans le domaine éthique (à prendre dans un sens large et essentiellement indéfini), mais celui-ci fait partie de ceux auxquels j'adhère. Je suis aussi d'accord pour dire (mais ce n'est pas exactement ce que vous avez dit, dites moi si ça vous rejoint) que la blogosphère est à mon goût souvent trop convenue, manque de contradiction et d'insolence. Les béni-ouioui de certains commentaires, qui sont assez répandus dans certains blogs (ça reste volontairement indéterminé), même des blogs dont j'apprécie les notes, ont tendance à m'énerver et à me donner envie de donner dans la provocation systématique. Dans ces cas là, souvent je m'abstiens. Il m'arrive aussi de m'abstenir pour d'autres raisons, diverses.

Car contrairement à vous, je ne pense pas que le visiteur soit le maître du jeu (et ça m'ennuie du coup que notre conversation dévie autant du sujet d'origine). Je n'ai quasiment jamais participé aux forums internet. Le principe ne me convenait pas. Ce n'est qu'avec ma découverte des blogs que j'ai compris pourquoi : le blog introduit dans les espaces d'échanges électroniques le principe de l'individu. Ou plutôt il l'affermit et le localise. Et c'est un principe dont on peut je crois difficilement se passer en matière de conversation et d'échange. On ne se comporte pas de la même manière chez soi et chez les autres (dans le monde réel) et cette variété des approches et des compertements suivant le contexte participe beaucoup à la richesse des échanges. De la même manière, j'essaye de me comporter chez vous comme j'imagine qu'il faut le faire sur la base d'indices que je découvre dans vos notes ou dans vos commentaires. Et ma manière d'être est susceptible de changer (envie de déconner un peu par exemple, mais c'est pas encore pour ce commentaire).

Deuxième chose, ce principe de l'autre comme un égal, j'éprouve parfois des difficultés à le mettre en œuvre. Je parle notamment d'une note dans laquelle je créais le concours du Vespasien d'honneur. Mais c'est un exemple parmi d'autres. Si vous n'avez pas lu cette note, pas nécessaire d'aller voir. Je me suis planté. L'histoire en peu de mots, c'est que j'ai voulu faire de la dérision et que c'est allé trop loin, qu'on a pris mes préventions pour de la provocation et mon ironie pour un manque de respect. Et tout compte fait, ce n'était peut-être pas faux. Comment cerner les intentions de l'autre (ou les miennes en l'occurence) si ce n'est par ce qu'il en manifeste ? Et lorsqu'on ne se refuse pas l'emploi du premier et du second degré, les discours sont souvent ambigus. Et mes intentions l'étaient aussi en fait.

Bref, c'est pas très clair, mais si je vous suis lorsque vous dites 1) que vous vous imposez de vous poser comme égal 2) que ça ne doit pas vous empêcher de vanner réfuter ou claquer votre désaccord, ma conclusion est que dans les faits il m'arrive souvent de manquer au premier par égard au second ou de manquer au second par égard au premier.

Pour terminer rapidement,- j'ai un peu de boulot aujourd'hui (enfin !) et une note à pondre -, il y a en plus de ça une contradiction interne possible dans l'attitude de penser (et je le pense !) que d'aborder autrui en égal rend plus fort : vous prévenez cette contradiction en précisant que ce plus fort est un "plus fort que je ne serais [moi-même]" etc... mais j'ai vécu personnellement l'orgueil de celui qui pense avoir une attitude moralement supérieure à l'autre (par exemple, ça m'arrive souvent face aux représentants de l'autorité, comme les policiers :-), orgueil qui naît de l'exigence morale et qui en est en même temps la mort.

J'ai peur que la théorie ne nous permette pas toujours d'avoir la certitude de nos bonnes pratiques :)

← Ego

Oh ! Le vôtre aussi est surdimensionné ?

← Re: Re: Ego

On trouve ça dans le commerce ?

← Re: Re: Théorie et pratique

localiser l'individu, oui, mais alors zut, Leblase et Wawa, si les blogueurs se mettent à tout piger du phénomène, personne va acheter mon bouquin. Je n'ai plus rien à vous apprendre.

Pour ce qui est de la provoc, il est un fait que le forum est un lieu où on se lâche facilement, alors que le blogs revêt un caractère plus sérieux, protocolaire, parfois guindé. L'humour au second degré passe difficilement. Je me souviens avoir dit que je vénérais Sarkozy comme un dieu sur le blog de DSK et certains l'ont cru et sont allé vérifier qui j'étais, puis ont compris, mais lentement. Je crois que l'art de la provoc sur les blogs suppose une expérience des forums. D'ailleurs Leblase en sait quelque chose. Une amie a dit que j'étais un peu fanfaron, moi je dirais un fanforum

Bon, eh bien bon dimanche et pour contribuer à ton EGO, j'ose

Pour le Blase, clap clap clap !

← Re: Re: Re: Théorie et pratique

Bah, Fulcanelli, l'écrivain est de toute façon le didon de la farce, attendu que ça ne sert à rien d'écrire un livre, que seule la lecture est utile :)

Pis clap clap clap aussi, tiens.

← Re: Re: Re: Re: Théorie et pratique

Le commentaire précédent aussi était signé wawa...

← Re: La théorie est (parfois) pratique

Au nom de tous les tocards que tu n'as pas mentionne parmis les talents-tueurs, tu me le payeras cher, Leblasouilleux.

Et n'essaye pas de rattraper la sauce, car c'est trop tard maintenant.

Je te banni de mes liens.

A moins que tu ne fasses une note que SUR et POUR moi, alors la peut-etre...

← Re: Re: La théorie est (parfois) pratique

    Amen.

← Re: Re: Re: La théorie est (parfois) pratique

Bon, meme si cette excuse est d'une nullite affolante, ca ira pour cette fois.

La prochaine fois que tu me mentionnes pas parmis les genies du second-degre des blogs, je balance a Sirene l'histoire de notre idylle aux Seychelles.

Ca va chier des oursons de mer, c'est moi qui te le dis.

← Re: ça doit piquer

C'est dingue, quand meme, qu'il faille employer des menaces pour se faire respecter chez toi, Leblase.

De t'facon t'es grille, mon grand.
Sirene sait tout.

J't'en mettrais moi, du second degre.

Trouble-fête...

« Vivre, c'est habiter un autre. Et sentir n’est possible que si l’on sent aujourd’hui autrement que l’on a senti hier; sentir aujourd’hui la même chose qu’hier, ce n’est pas sentir, c’est se souvenir dans le présent de ce que l’on a ressenti un jour, c'est être aujourd’hui le vivant cadavre de ce qui fut une vie évanouie. » ( Joseph Macé-Scaron )

← Re: Trouble-fête...

Oh Elle joyeux bordel, qui c'est ce Joseph Macé-Scaron ? Tu peux me dire s'te paiît ?
Tu ne t'aurais pas inventé un double à la Ajar quand même ....

Face à une question piège le mieux est de la reformater

Je crois qu'on rêve et espère tant qu'on vit. Celui qui ne rêve plus est mort. J'avais quelques rêves qui se sont réalisés des années plus tard, être au salon du Livre de Bordeaux, et puis des choses qui se sont réalisées sans que je les ai rêvées, genre devenir docteur une deuxième fois, en philo.

Et puis des rêves collectifs. La victoire du NON m'a donné quelques satisfaction. Le reste, sans grande importance. Je rêve à la recontre avec l'Inconnu et le mystère, des oeuvres d'Art, me comprendre enfin...

Sinon, dans ton QCM je prends le savoir aimer. La plupart rêvent d'être aimés et déchantent. Mais lorsqu'on sait qu'on a aimé et que cela pourra être oté, alors c'est une belle réussite.

Les nouvelles alarmantes ne sont pas celles qu'on croit. La société devient débile et c'est une mauvaise nouvelle. La seconde mauvaise nouvelle c'est qu'elle ne le sait pas.

avant, pendant et hier

En un peu plus de cinq mois Florence Aubenas aura sans doute eu au moins trois points de vue distincts sur ta question : avant, pendant, et hier.

← Re: avant, pendant et hier

Et peut etre s'est-elle demandée si elle avait laisser cette chance dont parle jankelevitch .

"Le vent se lève, c’est maintenant ou jamais,
ne perdez pas votre chance unique dans toute l’éternité,
ne manquez pas votre unique matinée de printemps"

← Re: leblase révise ses classiques

> et bien comme il nous l'a expliqué :-)

comprendre et ne pas juger, faire (plutot que dire) dans l'instant avec SINCERITE, en recherchant le BIEN et sans trop s'occuper de ceux qui disent, jugent et nous (se)  mentent, car comme le dit janké  : "s'il y a des fourbes autour de nous, cela ne nous fait pas honneur"

et toi c'est quoi réussir ta vie :-)

Au risque de me répéter, je me tape de Françoise Aubenas. Je suis un mécréant qui refuse de participer à ce pathos émotionnels qui par ailleurs, renforce la puissance des ravisseurs potentiels de journalistes. Cette cause ne m'intéresse pas. Toute cette mise en scène est une manière de détourner l'attention des gens.

← Re:

oui tas raison, on en parle trop ! ça occupe les médias et ça leur évite d'aborder d'autres sujets.

de la ferveur pour l'avenir

Je n'ai jamais pu aller piano ni lontano ni sano mais ce que je sais, c'est qu'aujourd'hui je n'ai plus peur, que mes rêves sont bien plus beaux et amples et joyeux que ceux de mon enfance et que les perspectives que j'entrevois pour ceux qui m'entourent sont pleines d'espace et d'ardeur. Seul importe le présent. Peu importe les tempêtes et les orages pourvu qu'on meure debout à la barre avec un ciel étoilé de préférence sous les yeux. Il reste tant à voir et tant à faire sur cette terre qu'il m'apparaît impossible de renoncer qu'elle qu'en soit les difficutés et les inquiétudes. L'envie de connaître est la plus forte. Et je viens de m'apercevoir que savoir pouvait donner la pêche et même provoquer des engagements par choix. Et si je meurs en me disant que j'ai eu une vie intéressante avec quelques petits résutats, je ne me plaindrai pas.

← Re: Re: de la ferveur pour l'avenir

Fulk et moi, tu déconnes, nous n'avons jamais été amants, tout juste bons amis....
Et le mariage JAMAIS ! ni pour lui ni pour moi d'ailleurs...Je le connais !

← Re: Re: de la ferveur pour l'avenir

Et bravo pour ta petite trouvaille (j'avais oublié ...) de me moquer !!

Et si je faisais des envieux ?

Il y a quelques temps, je me pensais parfaitement heureux. Et si tu te demandes pourquoi, la réponse est dans la phrase. Je pensais. Et puis sont venus des jours qui auraient dû être malheureux. Et qui ne l'ont pas été vu qu'une nouvelle étape de ma vie en est née (et sans nénés). Tu me diras que c'est parce que je tire le positif de ce qui m'arrive. Forcément, vu que tout ce qui m'arrive me convient. En vivant sans cadre que je n'approuvais pas, j'ai appris à changer de forme au gré du vent. Comme ma forme m'indiffère, je suis assez content malgré ma faculté de penser. En faisant chaque fois une fête lorsque je rends une maxime fausse.

Alors je ne sais pas si ma vie sera réussie. Je pense d'ailleurs que ce participe n'a rien à faire avec un mot tel que "vie". La mienne me convient car tout a une conséquence. Il suffit de les modeler elles aussi pour les rendre enrichissantes. Et si on ne peut vraiment rien en faire de profitable, les laisser sur le bord du chemin en ayant appris qu'elles ne l'étaient pas. Donc continuer enrichi quoi qu'il arrive.

Le mieux dans tout cela, c'est que, ce chemin, on ne le choisit pas seulement, on le bâtit. Pavé après pavé. Qu'ils conduisent à la plage ou à la mare. Et sur ce drôle de sentier, ce qui compte, ce sont les priorités.

← Re: Et si je faisais des envieux ?

>Garg
"continuer enrichi quoi qu'il arrive"
"ce qui compte, ce sont les priorités"

Je n'aime pas trop faire ça : dire "c'est bien ce que tu dis".
Mais là, je ne sais rien dire d'autre et je ne veux pas me taire.
Apprendre sans arrêt, de tout, des "bonheurs" et des "malheurs". Tirer enseignement de tous les événements. Et s'en servir de marche pour avancer.

Merci de mettre tes mots sur ma vie.

To blog or not to blog ? ;-)

Le blog est un support qui permet d'émettre une représentation de soi-même : on choisit des informations à l'intérieur de soi (des opinions, des goûts, des émotions, des sentiments, des avis, des envies,...) et on choisit une façon de les montrer (couleurs, mots, images, sons,...). Tout ça en fonction de ce qu'on voudrait que les visiteurs du blog perçoivent de soi. C'est comme chez soi : ceux qui sont intéressés s'arrêtent, repartent, papotent un moment ou s'incrustent, reviennent, disparaissent; beaucoup ne font que regarder mais ne se manifestent pas. On les accueille de diverses façons, suivant l'écho qu'ils rendent, suivant ce qu'on perçoit de leur être. Ils laissent des traces, parfois indélébiles. Ils se mélangent entre eux. Ils remportent avec eux des morceaux de soi dont on ne soupçonnait pas forcément l'existence.

Mon corps physique est-il autre chose qu'un blog ?
C'est-à-dire un support qui me permet d'émettre une représentation de moi ?
C'est-à-dire un moyen d'émettre des signes suivant ce qui me semble le mieux refléter ce que je pense être, ce que je voudrais qu'on perçoive de moi (mots, regards, timbre de voix, gestes, coups, caresses, vêtements, intonations, mimiques, coupe de cheveux,...)
C'est-à-dire un endroit devant lequel des gens passent, s'arrêtent parfois, lisent des émotions, laissent des commentaires, croisent d'autres gens,...

- Une différence : les rencontres avec mon corps physique sont limitées géographiquement.
1 point pour le blog.
- Une autre différence : le blog est bien moins riche en perceptions. Il lui manque l'odeur, le toucher, les mimiques (dont les émoticons ne sont que de pitoyables reflets), les intonations,...
Mais peut-être est-ce ça le truc : le corps est trop compliqué, trop difficile à manœuvrer, avec tous ses moyens de communication, toutes ses portes et ses fenêtres, ses fissures qui laissent échapper des informations que je voudrais garder enfouies au fond de moi.
Et peut-être que la pauvreté des signes arrange bien tout le monde : elle permet une interprétation extrêmement libre. "Je ne suis pas certain(e) de ce que je voulais dire, mais tu y trouveras bien une signification qui te plairas".
1 point pour mon corps ?
- Encore une : j'arrête mon blog quand je veux. Je peux le détruire et en ouvrir un autre ailleurs. Je peux changer à volonté d'orientation, de style. Je peux en avoir, incognito ou pas, plusieurs à la fois.
1 point pour le blog ?

J'ai envie de jouer au jeu des différences.
Ou des ressemblances.
Et de poser la question : c'est quoi un blog réussi ?
;-)

← Re: Re: To blog or not to blog ? ;-)

>leblase
Je ne m' "abrite" pas ! J'essaie laborieusement de trouver des mots, des images pour communiquer. ;-)
Ai-je vraiment l'air si sûre de moi ? Suis-je si agressive ? Tu me réponds toujours comme si je posais des certitudes. J'émets juste des hypothèses. Et je ne t'en veux de rien, surtout pas de me contredire, puisque c'est la seule chose que j'attends de toi (et de tout ce/ceux que je rencontre) : m'apprendre ce qu'est un leblase, un Garg, une Elle, un coquelicot ou un papillon; m'émerveiller, m'enrichir de leur être, de leur savoir, de leur différence.
Est-ce que je dis autre chose depuis que je m'incruste chez toi ? Quand je parle (à ton invite) d'écoute, d'égalité, de différence, de dépassement des préjugés de tous ordres, quand je me compare à une éponge plongée dans le blog,...
Est-ce que je suis obligée de commencer toutes mes phrases par "peut-être" pour faire bien comprendre que je questionne et que je sais que je ne sais rien ? Et pourtant mes commentaires me semblent criblés de doutes...

Je ne sais pas par quoi commence l'expérience de la vie. Il me semble que c'est un mélange inextricable d'émissions et de réceptions et je n'ai aucun moyen de savoir par quoi j'ai commencé. Parce que l'émission et la réception ne sont pas uniquement volontaires, ce sont des événements qui se passent de ma conscience pour interagir.
Je répondais l'autre jour un peu tard à un commentaire d'Elle qui demandait (je n'ai plus les termes exacts) "Est-ce que vivre c'est se taire ?" : oui, je crois profondément que vivre c'est surtout se taire, ressentir, et laisser mûrir avant d'ouvrir sa gueule, et ne pas forcément l'ouvrir à chaque fois d'ailleurs.

Je ne suis pas en train d'attaquer le blog. Je suis juste en train de penser, parce que je ne sais pas m'arrêter de faire ça. Je suis impressionnée, bouleversée, par ce que je vois sur les blogs et j'essaie de comprendre. Et je pose des questions, et je demande de l'aide. Et quand je dis "impressionnée bouleversée", ce n'est pas forcément péjoratif nom de dieu !

Je n'assimile pas la vie à mon corps (aurais-tu encore lu trop vite ?). Je dis que mon corps est un support physique qui me permet de communiquer avec l'extérieur, d'émettre et de recevoir. Je ne sais pas ce que je suis exactement, mais, pour faire simple, je m'imagine comme étant à l'intérieur d'une machine (au sens large) me servant à communiquer avec les autres êtres. Cette machine peut prendre la forme d'un corps de chair, mais également, pourquoi pas, d'un moteur de blog.

M'emparer de ton blog ? Mais c'est déjà fait ! ;-)
(ça veut dire quoi exactement " ;p " ?)

← Re: Re: Re: To blog or not to blog ? ;-)

Mince, Jo! J'ai l'impression d'entendre ma voix, avec ses tonalités... c'est bizarre, étrange même, au point où je me sens copiée, non pas plagiée, mais dédoublée, reproduite. Pourtant rien dans vos posts précédents lus ici ne me parlait, ne retenait même, je l'avoue, mon intérêt. C'est la première fois que ça m'arrive, en virtuel ou en réel.

← Miracle!

Kate, que vous arrive t-il?

Seriez vous re-devenue humble?

Je vous croyais "papier glacé"...voyez comme les premières impressions peuvent s'avérer trompeuses!!!

← Re: Re: Re: Re: To blog or not to blog ? ;-)

>Kate
C’est pour ça qu’il faut chercher longtemps, lire, écouter, regarder, s’imprégner, sentir, analyser, déposer les barrières, choisir aussi, relire, recouper, douter, changer d'éclairage, recommencer, toujours, jusqu’à détecter la note qui éveille l’écho "juste" en soi, la touche de couleur qui s’intègre parfaitement dans le paysage.
C’est pour ça que rapidement après être arrivée sur ce blog, j’ai songé à m’en aller, parce que ne jamais survoler est mon exigence et que je n’ai pas la force ni le temps de faire ça avec tant de personnes à la fois, dans la vie et dans le blog. Mais l’attraction du blog est plus forte que moi ! ;-) Alors je tente le compromis. Et je souffre... mais c’est une autre histoire...

Ça m’est arrivé une fois dans le réel. Il y a longtemps. Une copine. Devenue amie. Puis sœur. Puis progressivement perdue de vue. C’était étrange. Drôle. Réciproque. Conflictuel. Bon. Plein. Gai. J’y repense souvent.

Peut-être ne sera-ce ici entre nous qu’un éclair fugitif, peut-être non.
Espoir...

← Re: Re: Re: Re: Re: To blog or not to blog ? ;-)

Idée pour mon prochain roman. L'intituler les champs magnétiques, pour niquer Houellebecq.

Le principal personnage ce sera Leblasinsky, poète écolo ayant quitté la Russie après l'ascension de Poutine, grand voyageur dans le réel et magnétiseur sur son blog

← Re: Re: Re: Re: Re: Re: To blog or not to blog ? ;-)

>Fulcanelli
Quand tu en feras un film à grand spectacle, pourras-tu me réserver le rôle de la limaille de fer ?

← Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: To blog or not to blog ? ;-)

Non car je t'ai castée pour mon prochain film produit par Luc Besson, tourné dans les calanques marseillaises

Le grand blues chez Leblouse

Tu joueras l'éponge.

Par contre, j'aimerais bien citer quelques-unes de tes lignes (Je joue le pêcheur à la ligne)

← Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: To blog or not to blog ? ;-)

>leblase
Concernant Jo, ce n'est pas de l'ANARCHIE c'est de l'ACHARNIE : elle est trop lucide pour se satisfaire du résultat de ses arguments acharnés. Elle sait qu'il faut voir grand pour un pas incertain. Elle s'acharne et s'acharne encore... surtout quand le résultat est trois fois rien ... même pâs du vent.
Elle s'acharne et s'acharne encore...  pour "un plus" sentimental .. et plus encore

← Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: To blog or not to blog ? ;-)

>cslamm
Je viens de tomber par hasard sur ce commentaire...
Tu sors d'où ?
C'est quoi cette histoire d'acharnement ?
Tu m'expliques ? :-)

← Re: Re: Re: Re: To blog or not to blog ? ;-)

>Kate
Je me suis rendu compte (très tardivement il est vrai) que dans mon commentaire
http://leblase.net/news/31.shtml#comment_83
je ne t'avais pas citée parmi ceux chez qui je ne commente volontairement pas.
Voulant réparer cette erreur, je me précipite vers circonvolutes, et là, plus de Kate...

Au secours !
J'ai perdu une frangine.
Quelqu'un sait où est Kate ?

main et oiseau

     alors je t'envoie un solo de Twombly une note bariolée et musicale

L'homme à l'oisel

Je suis impressionnée, Leblase. Une fauvette (?) perchée sur vos doigts. Que cela a-t-il pris pour l'apprivoiser ainsi? Et ne me répondez pas du doigté...

Au fait, je suppose que vous n'avez jamais dû attendre longtemps à faire du stop avec un pouce aussi évoquateur... J'en suis ... béate d'envie. ;-) 

Sorry, luv' my deviant mind couldn't help it... ;-)

Hello,

J'ai une question inattendue, cher Leblase. Juste un détail formel. La loi prévoit un droit de citation lorsqu'on emprunte quelques passages d'un livre édité (sans accord préalable avec l'auteur et surtout l'éditeur auquel l'auteur cède les droits). Le tarif raisonnable est de 10 à 20 lignes, sous réserve qu'on ne plagie pas en saucissonnant le texte en une centaines de morceaux.

Le blog est une édition et donc, je peux utiliser dix lignes extraites d'une note, voire deux sans demander l'autorisation à l'auteur qui dispose des droits vu qu'il est son propre éditeur. En principe cela devrait être applicable aux commentaires.

En fait, il se peut que j'aie besoin de citer quelques commentaires de ton blog. Qu'en penses-tu ? Devrais-je plutôt contacter l'auteur, dans le cas où il me faudrait un peu plus des 10 lignes ? Je l'ai déjà fait pour une amie du Net qui vient parfois ici et qui a un blog. (elle se reconnaîtra)

← Re: Fulca et les détails formels

A mon avis, le risque d'attaque est limité si on se restreint aux droit de citation qui devrait être transposé sans pb aux blogs. Ici, on fait simple, pas comme les directives de Bruxelles ce qui.... non, no comment, chut.

Etape 1 : je vais chercher le texte sur Google

Etape 2 : je te demande officiellement, Leblase, l'autorisation de citer plus de dix lignes des commentaires de Jo et j'en fais de même en adressant cette requête à Jo.



Bien cordialement

Fulca

← Re: Re: Fulca et les détails formels

>Fulcanelli
Est-il possible d'en discuter en privé ?
jokesskonfai@voila.fr

← Re: Re: Re: Fulca et les détails formels

Oui c'est possible, comme à la SNCF

← Citation du droit

Voici quelques infos sur le droit de citation.

 Qu'en est-il du droit de reproduire des citations?
Attention, citer ne veut pas dire reproduire -Vous ne pouvez pas reproduire librement un texte, Ceci est interdit par l'article L.122-4 du Code de la Propriété intellectuelle
En revanche, lorsque l'oeuvre a été "divulguée" (c'est à dire rendue publique par son auteur), vous pouvez en citer des extraits, sous certaines conditions. Il faut indiquer le nom de l'auteur ainsi que la source (Article L.122-5 alinéa 3 du C.P.I.)
Ce peut être une "analyse", ou une "courte citation" (Article L.122-5 alinéa 3, point "a" du C.P.I)

 Droit de citation.
La courte citation et l’analyse d’une oeuvre protégée sont autorisées par la loi à titre gratuit, à condition d’être systématiquement accompagnées de l’indication claire des références bibliographiques (titre de la publication, noms de l’auteur et de l’éditeur). Toute autre utilisation ne peut se faire qu'après autorisation, et éventuelle accord de rémunération...

Peut-on invoquer le droit de citation pour reproduire un extrait d'œuvre en ligne ?  

Cette éventualité est envisageable, toutefois, il faut que la citation réponde cumulativement aux critères suivants :

-Elle doit être "courte". L'appréciation de cette notion est laissée à la discrétion du juge en cas de litige. On admet généralement la reproduction d'une quinzaine de lignes.

-Elle doit provenir d'une œuvre déjà licitement publiée (que l'auteur ou ses héritiers considèrent comme terminée).

-Elle doit être faite "dans un but de critique, de polémique ou d'enseignement ou dans des travaux scientifiques".

Cette vocation pédagogique de la citation exclut les sites à caractère commercial ou de pur divertissement.

-Elle doit être faite "conformément aux usages honnêtes de la profession" et "dans la mesure justifiée par le but poursuivi, bref "de bonne foi".

-Elle doit mentionner la source et le nom de l'auteur.

← Re: Re: Citation du droit

Merci Leblase, je savais que tu serais OK

 Jo, tout dépend si elle veut rester anonyme ou dévoiler son nom. J'ai d'ailleurs le même pb pour ceux qui sont venus sur mon blog et dont j'ai l'intention de reproduire les commentaires.

Quant à ton blog, j'en cause dans un chapitre, évoquant le côté copain quadra, du temps ou Laurent et Didier passaient apporter de la bière.

← Re: Re: Citation du droit

>Fulcanelli
Sous réserve de me nommer en tant que Jo et de mentionner le blog source, je suis d'accord pour que tu publies tout texte de moi mis en ligne sur http://leblase.net  à une date antérieure au 15 juin 2005.

← Re: Re: Re: Citation du droit

Merci Jo,

Si j'arrive à publier chez un éditeur moins radin que l'Harmattan, je t'enverrai un exemplaire ainsi qu'à Leblase.

Ce qui nous ramène en fin de compte au sujet de cette note. Rêver et espérer à chaque instant. Il n'y a pas de raison que cet état soit réservé au plus jeune âge et qu'ensuite, on se dise, conformément à la doctrine des bolcho-libéraux, ta vie sera réglée par le marché et les directives politiques.

← le mulot renifleur

Fulca disait > Je l'ai déjà fait pour une amie du Net qui vient parfois ici et qui a un blog. (elle se reconnaîtra)

Etonnant : alors que je ne viens plus aussi souvent que je le voudrais; que quand je viens, je fais descendre et monter l'ascenceur sur la page et défiler les commentaires trop vite pour les lire vraiment, peut-on  m'expliquer comment mon mulot a senti qu'on parlait de moi ici, et s'est arrêté juste là ? intuition souricière ? psy-chose ?

Quant à me citer comme témoin à décharge pour une intention de détournement de commentaire, oulala, c'est un peu filou ça, non ? Jurisprudence, jurisprudence, est-ce que j'ai une geule de jurisprudence ?

← Atomes crochus

Ton mulot a des atomes crochus et Leblase avec son flair nous voyait déjà mariés.

Quand il y a témoin à harge ou à décharge, il y a procès. Qui est l'accusé et qui est la partie civile et ou est le délit ?

Le délire, oui

Pourtant c'est simple. Je faisais allusion à une amie qui m'a autorisé à citer ses écrits

et j'écrit yé, Aline....

← I'm not the only one (was re: le mulot renifleur)

Fulca, leblase > Autant pour moi, quelle desillusion, mais je ne regrette pas mon passage ;)

← Re: Re: le mulot renifleur

Sorry de décevoir Tilly, je faisais allusion à M.H.

J'ai zappé trop vite sur le commentaire, sans voir l'adresse http, d'où un quiproquo qui fera bonne figure dans ton salon Leblase. Avec des quiproquo, c'est plus authentique

Parce que Heidegger était à Abu Dhabi en 1947 !

je le croyais à Vienne ... nourrisant une autre métaphore qui, différente, mais frappée du  même sceau : A Vienne le soleil  a mauvaise mine qu'il n'y pleut pas.

je rectifie :
vous aves dit : "C'est parce qu'il a plu que le sol est mouillé"
Je le croyais à Vienne ... nourrissant une autre métaphore qui, différente, mais frappée du  même sceau : A Vienne le soleil  a mauvaise mine quand il n'y pleut pas.

J'ai quoi dans le trou ? non, vulgaire, pardon - où en êtes vous de votre vie ?

Je débarque mon Leblasou, j'arrête pas en ce moment mais je pense à toi quand même -)

Bon, je réponds a) ne veut rien dire car implicitement où en êtes vous de votre vie veut dire avez vous réussi votre vie ? c'est bien dans cette perspective là que la question est posée ? Donc "réussir sa vie" = a) ne veut rien dire

Zalors LeblaZe, je te vois venir - peux tu éloborer Inadapté trés adapté ? Je ne le peux pas. Je le SENS comme ça ou alors je dirais que ma vie sera réussie si la somme de tous les minuscules équilibres de ma vie est en équilibre elle même, alors ce sera réussi car je crois que ma vie est faite d'équilibres à chaque seconde renouvelés et tous de nature différente, ce qui signifie que exactement la même situation peut me rendre fou de joie ou de malheur, c'est selon l'équilibre de l'instant.

← Re: J'ai quoi dans le trou ? non, vulgaire, pardon - où en êtes vous de votre vie ?

Bonjour Didier, j'aime beaucoup cette histoire de minuscules de votre vie tant il est vrai qu' une grande réjouissance suivie une déception masquera les effets de cette dernière pour ne laisser transparaître qu'un état d'excitation à peine ambigü, voire pas du tout.
Merci adrénaline,  noradrénaline et dopamine ! Car vos minuscules pourraient finalement ne trouver d'équilibre que dans la ponctuation que proposent vos hormones.

CMV.

 Leblase, l'heure du bilan au mitan de la vie sonne comme une  crise identitaire ;le temps de tous les possibles est derrière nous, il faut aménager celui qui reste.

Effets de la cinquantaine qui approche?

Sentez vous s'éveiller en vous ce regain d'énergie,  et d'activisme nés sous la pression du  compte à rebours commencé ?

(nous jouons notre deuxième mi temps)

Il est encore temps de réecrire le scénar, faire des choix radicaux peut être;;pour ne pas mourrir avec des regrets;

← Re: CMV.(suite)

J'ai remarqué , mais peut être , ai je mal lu , que les intervenants ont du mal à s'allonger sur le divan de Leblase, et ne disent pas vraiment ce que sont leurs choix, ou alors de maniére tres générale...

A quarante ans , crise de milieu de vie oblige , j'ai épousé mon psy et quitté mon boss!

← Re: Re: Re: CMV.(suite)

LeBlase, le constat est vrai pour ce qui est de la teneur de mon blog. Je parle moins de moi, les caractères verts ont été délaissé au profit du blue (philo) et darkblue (société et politique). Le violet (métaphysique) est aussi en berne.

Vu de l'extérieur, tu dis juste, mais vécu de l'intérieur, c'est faux. Je n'ai pas plus d'énergie maintenant qu'il y a dix mois, en septembre 2004. Disons que l'hiver a été un peu rude. Si je ne parle plus de moi c'est que j'en ai fait le tour du moins pour l'instant.

← Re: CMV.

A mon avis, Leblase a passé la cinquantaine et a plutôt réussi sa vie à ce que je devine, enfin, il me paraît bien équilibré, et normal, c'est-à-dire parfois bougon mais il ne le montre pas. Moi si, je suis un type très normal.

50 ans, un cap, je ne sais pas ? j'ai passé sans pb les 40, et maintenant, je vais tenter de réellement démarrer; ayant raté ma vie professionnelle pour l'instant, complètement ratée.

← Re: Re: CMV.

bougre

Que des bientôt quinquagenaires

je m emmerde

pas le courage de me suicider ... j aimerais bien mourir

← BOUGRE

j 'arrive plus a mourir de rire, de trouille, parce que c'est l'heure
je voudrais vraiment mourir de mort. C'est mon affaire *. Je réponds a ta question BOUGRE de BOUGRE. ca te destabilise. t'as jouis ? ne réponds pas, je m'en fiche ...

* la loi de ce patlin te fait obligation d'assister une personne en danger. Je soussigné(e) moma sain(e) de corps et d'esprit, dispense Leblase de toute assistance et le lui interdis même. Fait ailleurs en un exemplaire unique, ce jour ou peut etre demain, pour ne valoir et ne servir que ce que de droit.

← Re: Re: BOUGRE

Que ne le voilà pas ce bougre .. plus gentil, plus tendre et sans morale ...
coincé entre quatre murs SVP, quatres baies vitrées teintées ..  moma est un(e) de tes lecteurs assidus qui veut bien répondre vrai à ta question mais ne l'assume pas.
Et puisque désormais sa vie te concerne, moma a une bonne nouvelle pour toi : il reporte son désir morbide le temps des cerises (comme dans le film iranien de ce même titre), et de participer encore à quelqu'uns de tes séculents billets.

Moma t'aime bien (et ça aussi il veut bien le dire (même si tu t'en fiches) mais anonymement)

;-)

← Re: CMV.

>bordel d'ELLE, Joyeux bord'ELLE
notre (ma) demeure n'étant pas ce que nous (je) la faisons, vous, ELLE, nous (me) faites retrouver les sources de fraîcheur et leur chant éternel qui survit aux orages.

Pourquoi je recois plus d'avertissement quand tu reponds a mon commentaire?

O grand Leblasou bien-aime, toutes les reponses sont vraies, 'f course!

Et perso, si tu me demandes dans quel etat je suis la mai'nant-mai'nant, je te repondrais: je suis dans l'etat d'apres-rencontre avec Dudu.

T'imagines mon traumatisme?

← Re: Pourquoi je recois plus d'avertissement quand tu reponds a mon commentaire?

Je corrige le tir: toutes les reponses sont bonnes/exactes/correctes.

J'y parle mieux la france que toi et j'ty merde.

← Re: Re: Pourquoi je recois plus d'avertissement quand tu reponds a mon commentaire?

:) Leblouse, c'est que tes reponses me font rigoler, grand dingue...

L'autre irlandais va pas tarder a retourner au bercail, d'ailleurs.
Mais je sais qu'il t'a langui.

Si tu savais toutes les saloperies qu'on a pu dire sur toi...tes oreilles ont pas siffle a mort?

← Dudu a encore frappe

Leblaouze,

Dnm ne voudrait surement pas que ca se sache, mais quand il a bu a ta sante, il a leve son verre puis a annonce:

"C't'enfoire de leblouse, j'lui en mettrais, moi, des herissons ou je pense, et qui piquent fort, en plus!"

Puis il s'est envoye 7 ricard en gloussant comme une dinde tellement il etait fier de lui.
Moi evidement j'etait offusquee par tant d'audace, alors bien sur je n'ai pas coopere.

← tout vient tatant a qui sait t'la tendre

:) :) :)

Leblason, moi, je veux bien te donner le mail de mon papounet.

Malheureusement, il se trouve etre occupe avec Sirene et m'a formellement recommande de ne pas les deranger, il m'a affirme qu'il casserait la gueule a Dudu plus tard.

C'est dingue comme le monde est petit quand on y pense.

← Toutenkhamon , a qui c'est ta tendre?

Il semblerait qu'Archignougnou prenne des vacances bien meritees de la blogosphere.

Mais n'aies crainte, Leblase.

Je veille a ce qu'il reprenne des forces et qu'il me revienne en beaute.

Même pas je veux y penser :)

← Re: Re:

Pour une fabuleuse image de moi sous l'effet de l'alcool, faut aller voir chez Mry. Sur son concours.

Pis sinon :

En pleine fin de virage. Mais des vies y en a tellement...

← Re: Re: Re: Re:

Nan je ne pense pas, je cuve.

Le troisième oeil open a fond quoi ...

← Re: Folie=Sagesse

Ben écoute ... moi-même des fois je me demande hein ... la sagesse, la zenitude, la reincarnation, tout ça ... à fond à fond !

:)

← Re: Re: Re: Folie=Sagesse

Tu l'as dépassée depuis longtemps :)

Me voilà avec des canettes de bières, faute d'être en compagnie des fulcanettes


En passant, une question comme ça. Quelque-un connaît-il le résultat des élections en Iran ?

← Re: Fulca et le Pack

Et je dirais même plus, en forçant sur la canette, que ce n'est pas un Parsi, ni d'ailleurs un moine tasmanais.

Par contre, si ma comparaison est bonne je prédis de mauvais jours à l'Iran

Figures-toi que pour moi, Rafsanjani est le Chirac de l'Iran. Même âge, même tendance à s'agripper au pouvoir.

← 21 avril en Iran

Mon idée de Chirac iranien se vérifie

Le réformateur appelle à voter Rafsandjani pour faire échec à l'ultra conservateur.

Pas de gouffre ... mais des raffarinades

N'ayant jamais rêvé de devenir Saint ou milliardaire, ça s'est passé à peu près comme prévu. Non, pas de gouffre. Sauf qu'à la fin, Raffarin a voulu remettre en cause les lois universelles ...

← Re: Re: Pas de gouffre ... mais des raffarinades

Si ça t'a plu, je suis bien content leblase. Un bloggeur qui fait des notes avec des centaines de commentaires, ça se respecte.

Respect.

"Ca s'est passé comme prévu"... ben, prévu par MOI. Ni par la sécu, ni par la CIA ... J'aurais pu me tromper, bien sûr, mais ça s'est passé comme prévu ... jusqu'à Raffarin.

J'avais un plan de carrière, une rémunération indiciée, des échelons programmés, une carrière sans surprise.... comme prévu, j'te dis. Prévu par MOI.

Ils m'ont dit : "Gouverner, c'est prévoir". Alors, je leur ai fait confiance. Ce sont eux les intelligents. Moi, je fais partie de la France d'en bas, tu comprends. Je laisse faire ceux qui savent et sur la fin, il y en a eu un qui savait mieux que les autres, mieux que tous ceux qui l'avaient précédé. Les cons, avant, ils savaient pas qu'on vivait de plus en plus longtemps et c'est Raf qui le savait et qui m'a dit : ta retraite : oublie. Et c'est là, effectivement que ça marche plus comme prévu. Merde. Pourtant, ça fatigue d'écouter une vie entière des râleurs qui postillonnent derrière l'hygiaphone. Mais non, c'est pas fatiguant. C'est Raf qui l'a dit.

Toi, tu crois que c'est fatiguant ou pas ?

← Re: Dan et la retraite prévue

Moi, je savais pas que je vivais.

Pourquoi ils m'ont mis à côté d'une guillotine, alors ?

Et puis, je vois bien que tu cherches à me tester le(faux)blase ! Hein ? Tu sais bien que la France est le pays qui accueille le plus d'immigrés et qui a le meilleur taux de natalité en Europe ...

Bon, je vais me coucher. Merci pour tes bonnes paroles, quand même. J'ai un grand besoin de repos car il paraît  qu'ils veulent faire travailler les fonctionnaires le samedi aussi.

Tu te rends compte ? Les fonctionnaires, le samedi ...!

Non, depuis Raf, tout fout le camp ... Bonne nuit.

← Re: Re: Pas de gouffre ... mais des raffarinades

autre maxime

Leblase need the Fulca to win against the Fulca

← Re: Re: Re: Pas de gouffre ... mais des raffarinades

Fulca contre Fulca  c'est comme Don Quichot contre Servantes ..

t'es génial leBlase

Le visage de Leblase du bout du monde

Bonjour Leblase,

tu devrais présenter la photo du pouce ou celle de l'oiselle au concours "mon visage du bout du monde" chez MRY. 

Point virgule tirait parenthèse fermante.

Folie privée s y est montrée... Elle s y est illustrée... et de quelle manière !

← Re: Re: Le visage de Leblase du bout du monde

Oui enfin non .. t'as compris

← Re: Re: Re: Le visage de Leblase du bout du monde

Euh.. moi z'ai pas compris

Où que tu ailles, c'est la vie.

J’aime la solitude de la nuit et des déserts. J’essais de tendre vers le silence. En vrai j’habite la ville en tant que citoyen diurne et je parle trop, beaucoup trop.

J’aime l’ailleurs et en vrai, il m’aime bien aussi.

J’aime les femmes dans la femme ainsi que leurs sœurs, leurs mères, leurs copines et leurs pires ennemies à toutes. Certaines d’entre elles me font le cadeau de s’en émouvoir. En vrai, j’ai beaucoup d’amour mais stupidement, je m’en protège.

Je pense qu’il serait très pratique de mourir là tout de suite mais quelque chose d’incompréhensible fait que j’y tiens quand même un peu à la vie, cette salope.

← Venimeuse, quand la vie perd, elle te mort ta plus grosse veine.

Elle s'agenouille devant l'éclatement doré du crépuscule et se lève en chantant à l'éblouissement de l'aurore.

Tu sais que t'es un poète toi. Nul n'aura jamais aussi bien parlé de la fellation.

← Re: Re: Venimeuse, quand la vie perd, elle te mort ta plus grosse veine.

Il ne faut pas parler de fellation devant Yaëlz car cela pourrait heurter son sens moral. Tu sais qu'elle est encore très pure sous ses dehors canaille.

← Re: Re: Re: Re: Venimeuse, quand la vie perd, elle te mort ta plus grosse veine.

On m'aurait menti?

← Re: Re: Re: Venimeuse, quand la vie perd, elle te mort ta plus grosse veine.

La fellation, mais qu'est-ce?

← Shocking!!!

Rien ma citronnelle. On parlait de la vie. Laisse-nous, tu veux bien mais avant, va nous chercher deux bières?

Hein?

Quoi non?

Yaël? T'as vraiment dit "Les deux bières, tu iras te les chercher dans l'cul après que je les y ai enfoncées à coup de godillot." ? Mais Yaël, qui t'as appris des choses pareilles? Moi qui n'ai vu que douceur et chasteté en toi. J'en suis tout retourné.

← J'en reviens pas

Je vous demande d'arreter de repandre toutes ces infamies sur mon compte!

Et Leblase, quand on sait pas ecrire Nolwenn correctement, on ne l'ecoute pas!

Non mais.

← Rêve: elle à sion

T'as raison la Yawille, il y a un temps pour charrier et un temps pour rétablir la vérité, alors allons-y:

Mon cher leblase, je vais te faire part de quelques révélations au sujet de Yaël qui vont modifier profondément le cours de ton existence.

1- Yaël écoute en fait une musique tout à fait potable et je n'ai pu trouvé aucune preuve de son admiration pour les conasses pré-citées. En cinq jours, j'ai d'ailleurs été incapable de lui adresser la parole car elle m'a piqué mon gramophone au radium sur lequel est gravé la quintessence de la création musicale universelle. C'est d'ailleurs Yawille qui m'a fait découvrir un album évident de Bob Dylan par exemple.

2- Sous cet humour bravache se cache en fait une véritable fleur. Il ne faut pas non plus se fier à sa voix mélodieuse qui n'est pas sans rappeler Tom Waits. Il ne faut pas davantage se laisser impressionner par son mètre quatre-vingt-quinze et ses cent trente kilos qui ne sont que douceur. Tout en elle appelle l'amour et elle se garde bien d'afficher la souffrance que nous lui infligeons par nos petites méchanceté de garnements malotrus.

3- Yaël est une magicienne ou une sorcière selon les humeurs de la lune et le cours du Nasdaq. Tu la vois, elle t'envoute et tu ne l'oublis plus jamais, tu ris, tu t'éclates et pour revenir dans le sujet, tu vis. Complètement.

J'arrête deux secondes pour te laisser le temps de t'en remettre. Tu me diras quand je pourrai continuer.

← Re: Re: Rêve: elle à sion

Leblase, si tu continues comme ca, je vais te pincer les couilles tres fort- comme dirait folie.

Et puis apres je passerais un ptit coup de fil a Sirene adoree, comme tous les jours.

← Re: Rêve: elle à sion

C'est joli, Dudu.

Je rougis, la.

Si si.

Mais puisque je te le dis, enfin!

← Re: Re: Shocking!!!

El jamón patrimoine de la humanidad
El jamón patrimoine de la humanidad
El jamón patrimoine de la humanidad
El jamón patrimoine de la humanidad

← Re: Re: Re: Re: Shocking!!!

laseine t'appelle au secours chez Amud sous le nombril

← Re: Re: Re: Shocking!!!

->laseine:

Si je traduis correctement, ça donne: "Les gens bons, patrimoine de l'humanité" C'est bien ça?

← Re: Re: Re: Re: Re: Shocking!!!

J'étudie l'arabe depuis cent quarante-huit ans mais j'ai plutôt l'impression là tout de suite que tu me ressors tes bases d'indonésien. Je me trompe?

← Re: DNM est un gars qui a du bagout

Ah! Le malais fait. Je jette l'éponge! :-)

← Re: Re: DNM est un gars qui a du bagout

Pourquoi jette-tu l'éponge DNM ?
Tu m'as l'air d'un gens bon, t'es donc patrimoine de l'humanité.
J'ai pas encore eu le temps de lire ton carnet de voyage que j'ai découvert quelques jours plutôt. Encore sur ma todo list. 

← Re: Où que tu ailles, c'est la vie.

très beau

Kif halek ?

← Re: Re: Re: Où que tu ailles, c'est la vie.

Leblase, t'es qu'un toccard...

Laseine te demande comment tu vas et tu lui reponds Allez?!

pffff...

← Re: Re: Où que tu ailles, c'est la vie.

Kwaissa, wa enta (enti)?

← Re: Re: Re: Où que tu ailles, c'est la vie.

(enta)
Kwayess
Pourquoi j'arrive tooujours en retard ? et pourquoi je ne connais pas encore Yaël ?

...

L. (11 ans) et D. (14 ans) se chamaillent vaguement au sujet de je ne sais quoi :
L. – mais c’est pas comme ça qu’on fait ! (genre t’es bête ou quoi ?)
D. – ouais (genre bête toi-même) ben c’est comme ça qu’ils faisaient avant (jadis)
L. – oui mais avant c’était avant et là on est maintenant ! (péremptoire)
       ... (demi seconde de silence)
       ... (étonnement manifeste)
       mais maintenant on est aussi avant, puisque aujourd’hui c’est l’avant de demain
       et demain c’est l’avant d’après-demain…
L. et D. - sourire complice
L. – fierté dans le regard, coup d’œil aux humains alentour... il se trouve que je n’étais pas loin et que j’avais suivi le dialogue.
Éclat de rire à trois
Bonheur

Ça se passait il y a quelques jours. Je ne sais pas très bien pourquoi je vous raconte ça.
Parce que confusément j’ai l’impression que c’est ça aussi la vie… assister en direct à un déclic de ce genre... regarder grandir des enfants... partager les découvertes...

Je sais, je confusionne, mais bon, je suis pas obligée d’être claire tout le temps !

← Re: ...

Y (14 ans) et S (10 ans) se chamaillent certainement. Loin ... C'est aussi ça la vie

← Re: Re: ...

>Moma
Désolée... pas compris
Possible de préciser ?

← Re: Re: Re: ...

>Moma
Oups...
Je crois que le jeton viens de tomber...
Un peu lente Jo aujourd'hui...

← Re: Re: ...

>Moma
Oui, c'est aussi ça la vie.
C'est parfois très dur la vie. En forme de caillou sur lequel tu te fracasses les os et le coeur.
Alors quoi faire ? Je ne sais pas.
Vivre. Est-ce qu'on a le choix ?

← Re: Re: ...

>Moma
Alors là je fais très fort !

Saisie d'un doute, me voilà en train de chercher les autres commentaires de Moma sur ce billet...
Et je tombe sur le dialogue moma-leblase sur la mort.
Et je viens de terminer mon dernier commentaire par "Vivre. Est-ce qu'on a le choix ?"
Eh ben je l'ai même pas fait exprès.

A une (longue) époque de ma vie, j'ai beaucoup joué avec l'idée de la mort. Du suicide en tant qu'échappatoire. Ca me rassurait de me dire que si jamais je ne me sentais plus capable d'assumer, je pouvais toujours me casser. J'ai souvent été pas loin...
J'ai arrêté de jouer avec ça quand j'ai compris qu'il y a des gens qui m'aiment. Que ça existe. En vrai.
Et maintenant, quand c'est très dur, je leur en veux un peu : à cause d'eux je ne peux plus m'échapper.

← moma reste à NY

Merci Jo
Merci Leblase

← Re: Re: Re: Re: ...

>leblase
Lu
Vu
:-]

← on n'est pas nées de la dernière pluie, nous les gne

Dis-moi Leblase , quel est le gros popotin qui s'est assis sur l'herbe ? Ca fait pas net !
Ne me dis pas que c'est celui de la Sirène ? Garderais-tu des loukoums dans le placard pour l'empâter ? Ah moins que ce soit le village de nains d'Archignagnac qui se soit installé là, serrés les uns contre les autres, juste le temps d'un pique-nique ?
Dis la vérité !

← travailler en dormant, c'est possible, méthode à venir

Mais mon cher il n'y a pas besoin de réfléchir pour pondre des idées, moi je fais comme toi, je fais la sieste et c'est fou ce que je me sens productive quand je me réveille. Mais ensuite je me rendors.
Je dois pondre des gros trucs, c'est sûr.
Mais le principal c'est de se faire confiance, c'est ce que j'aimerais faire comprendre à cette tête de mule de Fulk, qui a trouvé son éditeur mais qui continue à faire des appels micro..C'est ce qu'on appelle...aide -moi....refuser les feux de la rampe pour prendre celle du pompier ?

En tout cas il m'a dit qu'il y aurait une phrase de moi aussi, c'est pour ça que je veux bien intercéder en sa faveur auprès des éditions de l'Yonne !

← Re: Re: travailler en dormant, c'est possible, méthode à venir

nanananaère, évidemment, la mienne de phrase n'est pas tout ce que tu essaies d'y fourrer laborieusement, mon pauvre Leblase trempé, essoré, elle est sobrement sublimissime la mienne !
N'est-ce pas Fulk ? (Tu n'es pas obligé de la transcrire sur cet horrible site !) tu me la rediras à l'oreille, comme d'habitude !

← marinapasfini

Ah, tu sais, Leblasou, je suis tombée par hasard (preuve quand tu veux) qu'il y a un mec vraiment bien (pas que pour la taille de ses épaules tu vois), avec du ciboulo et de l'à-propos qui a fait une note que sur moi ! Vrai de vrai, pour faire que des compliments élogieux et dithirambiques même, et j'ai pas eu besoin de relever ma jupette comme tu dis parce que ça, je le réserve aux moments où je ne blogue pas patate !
Et je l'ai trovué par hasard, tu t'imagines les surprises que je trouverais si je me mettais à chercher, rien que pour t'énerver, pauvre leblazigouillé !

← Re: Re: marinapasfini

fffttttttt! tssst! T'es gentil Leblase, t'es gentil !

Ritourn 'Elle!

Quoi, je reviens , apres quelques jours de vie ailleurs, et je me retrouve en pleine colonie de vacances!!!!?????

Leblase, caresserai tu (oh! oui) le rêve d'être un patriarche  d'un lieu de vie communautaire???

Effet du printemps, ta sensibilité artistique  et ton imaginaire sont  mis à nu par çi par là...attention, Leblase , tu es sur la voie dangereuse de la perfection..

 Trop Fort le coup de la biche aux abois sous la fenêtre de ta chambre! après celui de la fauvette!

Tu peux me faire la même chose un papillon bleu?  :-)

← Re: Re: Ritourn 'Elle!

La musique est un langage avec des ailes, portée de notes , portée de rêves bleus...

Hein quoi, des mots bleus?

Dans la note il y a la case perspectives actuelles.

Après avoir été scientifique déchu, philosophe maudit, me voilà en passe de réussir une carrière d'écrivain raté. Je viens justement d'envoyer en pièce jointe les cinq chapitres de mon essai à un éditeur qui m'avait contacté il y a tout juste deux mois. Depuis, pas de nouvelles. J'ai quand même envoyé le machin. Pour l'intro du livre, ça attendra. Ensuite, direction photocopieuse pour quelques envois plus conventionnels. Au fait, qui a dans ses connaissances un éditeur pouvant être intéressé ?

Personne, c'est sûr mais si on ne demande pas, on n'aura jamais la réponse

← Re: Fulca joint les mains et les pièces

OK mais tu aurais pu quand même me conseiller pour l'envoi.

Je donne ça à un porteur à cheval ou bien à la diligence qui part des Quinconces deux fois par semaine. Cette seconde option paraît plus sûr au vu des brigands qui hantent les forêts du Poitevin. En plus, les ingénieurs du Roy ont refait les pavés il n'y a pas longtemps

← Vraiment, non mais vraiment !

Fulk, tu déconnes !! Après avoir villipendé Actes Sud, Grasset, le Seuil et j'en passe parce que je ne me souviens plus, tu voudrais qu'on remette ça !
Je pourrais bien te trouver les Editions de l'Yonne, ils sont très sympas et assez ouverts aux nouveaux projets. Ils viennent d'éditer "la serre aux papillons" et "les chevreuils de St Romain le-Preux".
Tu resterais à la une de l'actualité mondiale de l'univers !
Et tu aurais un article dans "l'indépendant" de Sens (journal lui-même leader mondial…).
Et les chevreuils du quartier t'appelleraient "Monsieur".

Elle serait pas belle la life?

← Re: Vraiment, non mais vraiment !

Marina, je n'ai pas le souvenir d'avoir vilipendé ces éditeurs. Egratignés, oui, parce qu'ils le méritent. Et c'est normal. Je ne vois pas où est le pb. Tu n'as pas de suggestion à me proposer, tant pis. Il n'en reste pas moins que tu est une belle femme. Ca n'a aucun rapport allez-vous pensez, lecteurs de ce blog, eh bien, c'est parfairement exact, ça n'a aucun rapport

← Vraiment, non mais vraiment !

Merci pour la fleur mon Fulk, c'est fou ce qu'on s'aime depuis que Leblase nous a obligé à nous marier juste pour son fun ! Tu as vu comme il se plaît à tirer les ficelles hein ! Va pour les éditeurs, tu les as juste égratignés donc (hum, si je retrouvais ton commentaire Fulk, notamment sur Actes Sud que j'avais rencontré chez E.Leclerc qui louchait sur mon collier de moules !, ça devait être dans utile ou futile..pas grave.).
Allez, au travail,on le veut nous ce livre !

← Re: Vraiment, non mais vraiment !

Par cette chaleur je ne travaille plus sauf si j'ai une subvention du plan canicule.

Acte Sud, oui, je devais avoir une bonne raison pour les entarter mais j'ai oublié. Je devais être bourré.

Le livre est achevé. Enfin il est inachevable mais comme j'ai de quoi faire pour 175 pages, alors ça le fera. Ensuite...

Quant à nous marier, Leblase ne tire aucune ficelle. Tu sais bien qu'un  corps à coeur est une hypothèse raisonnable dans une métrique raisonnée, pas trop loin. J'ai aussi quelques sentiments pour Jo. Quant à Elle, c'est glacial.

← Re: Re: Vraiment, non mais vraiment !

Leblase, là Fulk le fait tourner autour de son doigt son Marcel, ça tourne comme au manège du dimanche, un coup c'est le corps à coeur, un autre c'est "j'aime bien Jo aussi" puis après il y a le sournois" avec Elle c'est glacial" qui est un appel du pied évident à Elle qui n'hésitera pas longtemps. LA VACHE !!! Quel bordel en perspective !!!!! DEMENT !!!!!!!!! Ebaubissant vraiment !!!!!

← Re: Fulca et les restaus du coeur

Peut importe qui finira dans un lit douillet avec moi. L'essentiel est que je puisse avoir quelques suggestions d'éditeur. Ca paraît curieux comme méthode, paresseux le Fulca se dit-on ? Mais non, j'utilise le principe de moindre action. Paramétrer le potentiel permettant à mon manuscrit d'arriver vers le bon éditeur. Et hop, un coup d'énergie cinétique et la trajectoire se fait sans problème à condition que je n'ai pas oublié de mettre des timbres sur l'enveloppe.

Je n'ai pas d'idée. Le Rocher vient pour l'instant. Le Seuil ? Essayer Guillebaud ? Un éditeur aquitain ? Non, le meilleur moyen pour vendre 100 exemplaires dont la moitié à des gens que je connais. Gallimard ? Non, c'est fermé et puis les blogs, c'est pas un thème chic. Grasset ? Non, je ne fais pas partie du dixième cercle de BHL. Albin Michel ? Il me faut le nom d'un directeur de collection.

Hep, toi grand éditeur, au cas où tu passerais ici chez Leblase, lis donc ce message !

← vaniteux ce Leblase !

"Ma, tou es la seule, crede me, la sola!
Et paf"

Pas mieux que Fulk, mon pauvre Leblase ! Et paf ? que dalle ! quel raccourci ! Tu me sembles bien mollasson en ce moment !

Tu oublies les preuves, tous les jours, avec de l'imagination et de l' aisance, pendant des mois !

Bon tu vas arriver à la pondre ta nouvelle note entre deux siestes ?

← Leçons de séductions.

Ma Fulca !! c'est un livre sur les nouveaux codes de la séduction que tu devrais écrire!!!

Prends exemple sur Leblase, il applique les principes de la C.R.M aux filles...(bon , l'éfficacité avec Marina reste à prouver!)

> Leblase ,  spécialiste en banquise du Grand Nord?

Pareil que Fulca

Bon Fulca cherche un éditeur moi je cherche une autre vie professionelle. Ca t'apprendra leblase à flemmarder dans les vapeurs d'encens avec nous et ces demoiselles qui exercent habilement leur séduction là allongées sur tes canapés des Moluques. C'est pour ça que ça commence à ressembler à Télé-Shopping chez toi.

Je suis un contemplatif inutile. J'ai plein d'idées qui n'ont jamais servi à personne sauf à me faire plaisir. Ce sont des idées vraiment super, dans tous les domaines. Comme je déteste les réaliser moi-même, je suis assez disposé, moyennant une très généreuse rétribution, à les soummettres à un panel de financiers confiant et naïfs. Je me suis dis que je trouverais peut-être ça chez toi.

Bon, tu la fais cette note ou je patiente encore un peu en faisant le décompte des moules sur le collier de Marina?

← Re: Re: Pareil que Fulca

Encore plus sérieux, quel genre de boulot tu peux proposer, Leblase ? Il va de soi que je ne risque pas d'être en concurrence avec Durrell vu nos parcours différents. Quoique, nous avons un point commun, c'est d'être inemployables. 

← EUREFULKAAA!!!!!!!

Moi je veux bien faire vulgarisateur de Fulca pour la plèbe. Fulca se coupe du monde pour écrire et ainsi ne peux s'en prendre qu'à lui-même. Je remanie le tout en écrivant gros avec des images. Je donne à lire à une copine d'Ashdod. Lorsqu'elle a compris, c'est que c'est bon. J'empoche les 90% du cachet de fulca tel que nous venons justement d'en convenir ensemble sur Meetic, tu te démerdes avec l'innondation des marchés littéraires. Pendant ce temps, je fais briller les barreaux de sa cage pour les quelques apparitions publique auxquelles les média le contraindrons et je repars fumer des bédos dans le Wadi Rum avec 30% des femmes qui hante ce lieu (il es entendu que j'ai le premier choix au vu de la précarité de l'emploi).

Ca vous va comme ça les gars?

← Re: EUREFULKAAA!!!!!!!

La cage est une bonne idée. Je me fais pousser les cheveux, je fredonne une idée en passant, enfermer Durell dans une cage à Médrano, j'apprends un peu d'harmonica et je te fais un de ces tubes. Pour bibi le pognons. Et après ça, je peux écrire tous les prolégomènes que je veux, je suis sûr d'avoir mes entrées chez Ardisson et MarcO !!!

La putain de réf, le Leblase y va jubiler, Médrano, tu te rends compte, putain, on est des vioques, enfin, encore quelques restes pour draguer les Marina mais bientôt, la canicule, ce sera pour nous. Qui sera Ministre alors ? Juste pour savoir si j'aurai droit à deux ou trois brumisateurs